Un Machin numérique …

Machin est mon premier roman (court), publié par les éditions (belges) Onlit en format numérique (c’est donc un ebook), on doit le télécharger (au format ePub / mobi / pdf), mais je crains qu’il ne soit plus disponible …

Une poignée de fourmis.
Un tirage au sort truqué.
Un matelas.
Une lucarne.
Un peu d’imagination.

La rencontre improbable entre un homme, une future maman et un bébé pas encore né, à l’origine d’un amour fou qui va survivre à tout …

MACHIN / 47 pages / 2,99 euros (aux dernières nouvelles) / ISBN : 978-2-87560-009-7 / paru 13 juin 2012

La presse et les bloggeurs en ont un peu parlé …

Passion Livres (Club de bibliothécaires – lecteurs – auteurs sur Facebook) : Je crois que tous les enfants voudraient un jour ou l’autre recevoir de leur père une lettre comme celle-là. Je pense que beaucoup en auraient besoin. Lisez, cela fait un bien fou ! (21 septembre 2014).

lirecrire.over-blog.com : Un texte qui transpire de sensibilité, simple, un cri de douleur. Un texte qui aurait pu être une partie d’un ouvrage dramatique ou d’un recueil. Une lecture rapide. Claire. Une image directe, une confidence d’un gars à propos d’un manque insupportable (3 avril 2013).

La vie des Livres de Radio Plus (avec Christophe Sueur) (novembre 2012)

La Revue (par Olivier Marbot)

Le Club des lecteurs numériques (par Sabine) : en voilà un roman (court roman) pas banal ! En moins de cinquante pages, l’auteur traite sous un angle original de la paternité. Être père sans vraiment l’être … et pourtant, il y a l’amour, les mots, les gestes, les attentions (30 août 2012).

Je lis en numérique : Pierre-Brice Lebrun a su m’émouvoir par son écriture sensible, près du coeur. Son personnage est l’homme  » Rose » que toute femme aime. Moi, je n’aurais pas hésité de le choisir plutôt que le père géniteur, en supposant qu’un tel homme existe. J’avoue que cette lecture m’a fait rêver avec son récit coup de coeur et son écriture sensible (16 juillet 2012).

Babelio (par Kittiwake) : Tout l’intérêt réside dans la façon adroite de faire découvrir progressivement qui sont les deux protagonistes (l’auteur et son interlocuteur) par petites touches, quelques indices, qui permettent de reconstituer l’ensemble (29 juin 2012).

La bibliothèque bleue : Un récit tendre et sans fioritures, avec des petites pépites d’humour à l’intérieur pour ne pas sombrer dans le pathos (27 juin 2012).

Jef Tombeur (dans C4News, le media social citoyen) : 45 pages, qui peuvent vous hanter autant que les protagonistes, s’ils existent vraiment (…), un court roman ou une longue nouvelle, intensément chargé(e) d’émotions revisitées (21 juin 2012).

Amélie Dewez : fidèle à cette histoire qui n’aura finalement vécu qu’un temps, cet homme parle à l’enfant dont il a suivi la vie de loin, sans jamais s’inviter, s’immiscer dans la réalité de la mère et de l’enfant. Par le biais de la réminiscence, on pénètre l’intimité d’un homme qui ne peut se défaire d’une vie à laquelle il a du renoncer (20 juin 2012).

Livres Critique (qui me connait aussi comme prof de droit) : une oeuvre émouvante dédiée à la fuite du temps et au désir de paternité (18 juin 2012).

Helran in Hell (qui m’appelle Pierre-Bruce : c’est un métier, critique, c’est un métier) : je n’ai pas du tout été sensible par ce livre (sic) ; ceci dit j’ai trouvé l’idée originale du récit d’un homme qui participe et est présent durant la période pré natal (sic aussi) d’une mère enceinte dont l’enfant n’est pas le sien. L’idée, les liens que forment ce trio et son développement sont bien écrits et menés (16 juin 2012).